Du Capucin au Sancy, le retour
Aujourd'hui, ce n'est pas au sommet que l'on peut pique-niquer au calme.
Quant à trouver un coin d'ombre, inutile d'y songer !
un criquet d'altitude (miramelle alpestre ?)
Nous descendons par le sentier du val de Courre, très caillouteux au début.
Seule une vache se protège de la chaleur
A la station du Mont-Dore, ce buron incendié garde la mémoire de résistants qui y furent tués. Les murs restés debout nous offrent un tout petit espace ombragé.
Le reste du parcours, jusqu'à la station d'arrivée du funiculaire, se fait en sous-bois ; de petites cascades dévalent les pentes : enfin un peu de fraîcheur !
l'impatiente ne-me-touchez-pas (balsamine des bois)
Mais il faut traverser l'espace torride du parking où le goudron se liquéfie. A l'ouverture des portières, l'air brûlant de la voiture restée en plein soleil nous saute au visage.
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